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Duceppe
Salle de nouvelles

Programme

Du 6 septembre au 7 octobre 2023 au Théâtre Jean-Duceppe de la Place des Arts, Duceppe présente Salle de nouvelles de Lee Hall, en coproduction avec Le Trident et Théâtre Niveau Parking.

Photo: Kelly Jacob
David Laurin et Jean-Simon Traversy

Mot des codirecteurs artistiques

Le 15 juillet 1974, l’animatrice américaine Christine Chubbuck entre en studio et annonce à son équipe qu'elle souhaite ouvrir son émission matinale avec un segment de nouvelles locales et nationales. Mais elle s’interrompt après quelques minutes de lecture: 

«Pour rester fidèle aux bonnes pratiques de WXLT, qui consistent à vous informer le plus rapidement possible des dernières nouvelles avec du sang et des tripes, nous vous présentons maintenant ce qui est probablement une première dans l’histoire de la télévision: la couverture exclusive - et en couleur - d'une tentative de suicide.».

Christine Chubbuck sort un revolver et commet l’irréparable.

Deux ans plus tard, le film Network, qui raconte l’histoire d’un lecteur de nouvelles (Howard Beale) dont la cote de popularité explose après l’annonce de son éventuel suicide en ondes, sort sur les écrans de cinéma du monde entier. Le film remporte quatre Oscars, dont celui du meilleur scénario original. Si ces deux événements ne sont pas liés (du moins, aux dires du scénariste), ils mettent en lumière la pression constante à laquelle le monde des médias et ses artisan·e·s sont soumis et font avancer la réflexion sur les risques de voir l’information tomber entre de mauvaises mains.

Le monde des médias est constamment appelé à s’adapter pour survivre. Cette tendance semble toutefois s’être accélérée au cours des dernières années. Est-ce encore possible de compter sur une information fiable, à l’abri de l’agenda politique et de la soif de profits des grandes corporations? La question nous semble plus que jamais pertinente dans cette brillante adaptation du Britannique Lee Hall.

Nous avons le privilège de compter sur des créateur·ice·s de choix pour porter cette œuvre à la scène — en commençant par Marie-Josée Bastien, dont la fougue et l’intelligence servent admirablement la tension inhérente à cette histoire, et par Denis Bernard, dont l’amour profond du métier n’a d’égal que le bonheur que nous avons de le voir plonger dans son personnage avec autant de passion et de rigueur soir après soir. Un immense merci à tous et toutes nos artistes, artisan·e·s, concepteur·ice·s, technicien·ne·s et machinistes pour leur dévouement exemplaire. Un merci particulier aux équipes de Duceppe, du Trident et du Théâtre Niveau Parking qui ont redoublé d’ardeur pour rendre possible ce projet de coproduction.

Et un immense merci à vous, cher·e·s spectateur·ice·s. C’est un profond bonheur de pouvoir vous retrouver pour cette 51e saison. Nous vous promettons de faire en sorte que cette nouvelle saison se révèle éminemment pertinente, créative et stimulante.

Bonne représentation!

David et Jean-Simon
Codirecteurs artistiques

Photo: Éva-Maude TC
Marie-Josée Bastien

Mot de la metteuse en scène

Salle de nouvelles: cette écriture ciselée, ce sens aiguisé des situations, ces remarquables personnages comme les archétypes d’une tragédie moderne, cette fulgurance dans le récit.

Cette pièce est à la fois une histoire impitoyable, cruelle… et un formidable terrain de jeu!

Salle de nouvelles est une adaptation du film Network, sorti il y a près de 40 ans. À l’époque, en guise d’accroche, on pouvait lire sur l’affiche un avertissement: «Préparez-vous pour un film parfaitement scandaleux.»

Mais peut-on encore dire que c’est «parfaitement scandaleux»?

Chaque jour, à la télé ou sur les réseaux sociaux, on peut assister au spectacle du quotidien magnifié par un effet de montage, des ellipses, des ralentis, des musiques, des vedettes éphémères. Paradoxalement, on banalise la violence, on déteste vocalement et sans filtre, on met en scène le désarroi sans aucune pudeur.

Il semble que tout peut être présenté, filmé, scénarisé.

Même, et peut-être surtout, la détresse humaine.

En fait, le plus effrayant dans Network est la familiarité de sa proposition. On assiste à la force d’un cirque médiatique. L’écran-parc d’attractions doit lutter contre l’ennui et tant pis pour ses victimes! Même les envolées les plus folles du texte, ses prétentions satiriques les plus farfelues se situent aux limites de la prophétie. Plus simplement, elles ne nous semblent plus scandaleuses du tout. Elles ont traversé le temps et les époques et résonnent encore aujourd’hui. Ou peut-être ont-elles toujours été présentes, éternelles en fin de compte.

Salle de nouvelles est une histoire qui s’intéresse aux imperfections, aux failles, aux zones de noirceur de l’humain. Dès le départ, la plupart des personnages sont habité·e·s d’une ambition insatiable. Ce besoin égoïste donne lieu à des affrontements terribles. Lorsque le journaliste Howard Beale annonce son suicide en direct, c’est un univers qui bascule. Les dirigeant·e·s du réseau se transforment en fauves et Howard Beale devient leur proie.

Ces pulsions animales, contre lesquelles aucune raison ne parvient à se dresser durablement, c’est tout ce que j’aime au théâtre.

Ce que j’aime aussi, c’est le jeu. Ce sont les actrices et les acteurs. Pour elles et eux, cette pièce est une invitation au vertige. Parce que tous les personnages bougent au cœur même de la fêlure. Ils·elles sont insatisfait·e·s. Ils·elles se manipulent, s’entredéchirent, s’arrachent la face et le cœur sans aucune pudeur.

Mais ce que j’aime par-dessus tout dans le fait de faire du théâtre, c’est le travail d’équipe. Et cette production est composée d’une multitude d’équipes, qui sont toutes d’une importance capitale. Chacune apporte un ensemble de détails plus importants les uns que les autres.

Je remercie de tout cœur les concepteur·ice·s d’avoir plongé avec tant de courage, de générosité, et d’ardeur dans ce projet monumental et tentaculaire. Leur engagement est d’une beauté sans nom.

Un merci immense aussi aux acteur·ice·s qui suent sang et eau pour vous offrir le meilleur d’eux et d’elles-mêmes, chair, humanité, cœurs grands ouverts, pour vous donner à voir le plus beau, mais aussi le pire de nous. Nous les humain·e·s. Ces fauves.

Je remercie les fabuleux directeur·ice·s artistiques Anne-Marie, Olivier, Jean-Simon et David sans oublier leurs formidables équipes.

Merci à David Laurin pour cette traduction si juste.

Merci à ma gang du TNP qui m’épaule chaque jour.

Un merci particulier à Charles-Étienne Beaulne qui, un jour, est arrivé chez moi en disant: «Tu devrais lire ça.»

Et je vous remercie d’être là, avec nous.
Car sans vous, rien n’est possible.

Marie-Josée Bastien

Bio de la metteuse en scène Marie-Josée Bastien


Metteuse en scène d’une trentaine de spectacles, interprète dans plus de cinquante créations et productions théâtrales, autrice d’une quinzaine d’œuvres, Marie-Josée Bastien est une artiste polyvalente. Assurant la direction artistique du Théâtre Niveau Parking (TNP) depuis 2016, après celle du Théâtre Les Enfants Terribles, elle enseigne dans différentes écoles de théâtre de la province et, depuis 1997, au Conservatoire d’art dramatique de Québec.

Au fil des ans, Marie-Josée a reçu plusieurs prix et nominations, tant pour son jeu que pour ses œuvres dramaturgiques ou ses mises en scène mémorables. Elle a notamment été récompensée par le Prix d’excellence des arts et de la culture de Québec pour cinq de ses mises en scène —Exercices de style (2021), Incendies (2018), Richard III (2009), On achève bien les chevaux (2007) et Impromptu (2003)—, après avoir été consacrée révélation de l’année 1993.

Elle a aussi été finaliste du prix Siminovitch 2013, une prestigieuse récompense qui honore un·e metteur·euse en scène qui constitue une figure de proue dans le domaine du théâtre canadien.

Marie-Josée a notamment monté Macbeth au Théâtre du Trident; Christine, Reine-Garçon, ainsi que Gloucester et Hamlet au Théâtre de la Bordée; Le garçon de la dernière rangée, de Juan Mayorga, ainsi que Act of God (en collaboration avec Michel Nadeau) et Eldorado pour le TNP. Plusieurs des œuvres dont elle est l’autrice ont fait l’objet de tournées internationales. Pensons par exemple à Éclats et autres libertés (prix Louise- LaHaye 2010) et La librairie.

On a pu applaudir cette comédienne issue de la communauté Huronne-Wendate et diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Québec sur les scènes québécoises et européennes, dans diverses productions, parmi lesquelles Mort prématurée d’un chanteur populaire dans la force de l’âge, de Wajdi Mouawad et Arthur H., L’éveil du printemps, dans la réécriture de David Paquet, Osage County, de Tracy Letts, Lentement la beauté, une création collective à laquelle elle a pris part, W;t, de Margaret Edson, et Le dieu du carnage, de Yasmina Reza. Ses talents d’interprète ont été salués, et elle a reçu le Prix de la critique 2012 pour son rôle de Noëlla dans Temps, de Wajdi Mouawad.

Salle de nouvelles est sa première mise en scène chez Duceppe.

Photo: Eva-Maude TC
Bio de l'auteur Lee Hall

Traduits en plusieurs langues, créés pour la scène, le cinéma, la télévision et la radio, les textes de Lee Hall ont marqué l’imaginaire d’un large public à travers le monde.

La carrière de ce dramaturge, scénariste et parolier britannique, né en 1966 à Newcastle, est lancée en 1997 avec Spoonface Steinberg, le monologue lumineux et bouleversant d’une enfant autiste, atteinte d’un cancer. Diffusée sur les ondes de BBC Radio 4, Spoonface Steinberg est élue par les lecteurs du magazine Radio Times comme l’une des dix meilleures pièces radiophoniques de tous les temps. Ici, comme dans nombre de ses œuvres, Lee Hall confronte ses personnages à leur propre marginalité, au vaste monde qui ne leur ressemble guère et, surtout, à l’art comme un idéal salvateur.

Trois ans plus tard, c’est la consécration avec Billy Elliot, film réalisé par Stephen Daldry dont le scénario de Lee Hall figure en lice pour un Oscar. En 2005, son récit devient un spectacle musical acclamé, dont Elton John compose la musique. Créé à Londres, Billy Elliot the Musical est aussi produit à Broadway, raflant quinze nominations aux prix Tony et mettant en vedette le jeune Montréalais David Alvarez dans le rôle-titre.

Auteur en résidence à la Royal Shakespeare Company en 1999 et 2000, Lee Hall adapte des œuvres de Brecht, Büchner et Goldoni, et écrit plusieurs pièces dont Cooking with Elvis, The Pitmen Painters (présentée chez Duceppe en 2012), Shakespeare in Love et Our Ladies of Perpetual Succour. La dernière en date, Network, est une adaptation théâtrale du film du même nom, récompensé en 1977 de l’Oscar du meilleur scénario, et signé Paddy Chayefsky. Acclamée au National Theatre de Londres lors de sa création en 2017, avec Bryan Cranston dans le rôle de Howard Beale, la pièce est présentée cette saison chez Duceppe sous le titre Salle de nouvelles.

Pour le grand écran, Lee Hall a signé récemment les scénarios de Cheval de guerre (War Horse), de Steven Spielberg, Victoria et Abdul, de Stephen Frears, du film biographique Rocketman, de Dexter Fletcher, et du film fantastique Cats, de Tom Hooper.

Photo: Caitlin McNaney
Bio du scénariste Paddy Chayefsky (Network)

Originaire du Bronx, Sidney Aaron « Paddy » Chayefsky (1923-1981) est un dramaturge, scénariste et romancier américain. C’est dans l’armée, alors qu’il sert pendant la Seconde Guerre, qu’il aurait acquis le surnom de « Paddy ». Blessé en Allemagne par l’explosion d’une mine, il commence à écrire lors de sa convalescence dans un hôpital anglais.

Paddy Chayefsky figure parmi les auteur·trice·s les plus renommé·e·s de l’âge d’or de la télévision américaine, dans les années 1950. Parallèlement, il signe pour le cinéma d’autres histoires mémorables et il est, encore aujourd’hui, le seul à avoir remporté en solo trois Oscars pour le meilleur scénario.

Une de ses œuvres les plus célèbres est Marty, l’histoire d’un malheureux boucher qui craint de ne jamais trouver l’amour en raison de son physique et de sa personnalité qu’il estime sans charme. D’abord réalisée pour la télévision, Marty est ensuite portée au grand écran et vaut à Chayefsky son tout premier Oscar — et la Palme d’or au Festival de Cannes — en 1955. Sa deuxième prestigieuse statuette de l’Académie lui est remise en 1971 pour The Hospital et c’est en 1976 qu’il met la main sur un troisième Oscar, pour le scénario de Network. Cette satire sur l’univers de la télévision new-yorkaise, adaptée pour la scène par Lee Hall en 2017, est souvent considérée comme son chef-d’œuvre. « J’écris toujours des trucs réalistes. C’est le monde qui est devenu fou, pas moi. C’est le monde qui s’est transformé en satire », dira Paddy Chayefsky au sujet de la création de Network dans le Time en 1979.

Ses autres textes pour le cinéma comprennent As Young as You Feel, The Bachelor Party, The Goddess et The Americanization of Emily, des films produits entre 1951 et 1964. Chayefsky signe aussi plusieurs pièces pour Broadway parmi lesquelles Middle of the Night, The Tenth Man, Gideon et The Passion of Josef D. Également romancier, il publie en 1978 Altered States : A Novel [Au-delà du réel] qui fait l’objet d’un film fantastique de Ken Russell.

Paddy Chayefsky décède d’un cancer à 58 ans. Il est intronisé à l’Académie des arts et des sciences de la télévision trois ans après sa mort, en 1984.

Bio du traducteur David Laurin

Diplômé de l’École de théâtre du Collège Lionel-Groulx en 2005, David Laurin est comédien et traducteur. Il est également codirecteur artistique du théâtre Duceppe aux côtés de Jean-Simon Traversy depuis 2017.

David a fait ses premières armes comme acteur dans Antoine et Cléopâtre au TNM, avant de participer à une trentaine de pièces, dont L'obsession de la beauté (La Licorne), Le Cid (Théâtre Denise-Pelletier), Les misérables (Capitole de Québec), Le blues d’la métropole (Théâtre St-Denis), Chante avec moi (Usine C) et Tribus (La Licorne). Sur la scène de Duceppe, il a interprété Gabriel Law dans la pièce Quand la pluie s’arrêtera. Il a aussi collaboré aux productions Un peu de tendresse, bordel de merde! et La pornographie des âmes, du chorégraphe Dave St-Pierre. Il a décroché son premier rôle au cinéma dans le film À vos marques party! 2 et amorcé sa carrière au petit écran en incarnant le jeune Jean Duceppe dans la série éponyme. Parmi ses rôles plus marquants, notons Antoine dans Vrak la vie, Steve Girard dans Toute la vérité, Alexis dans Lâcher prise et Marc Lemire dans District 31.

En parallèle, David a traduit plus de trente pièces de théâtre dont Les marches du pouvoir, de Beau Willimon (La Bordée), L’obsession de la beauté, de Neil LaBute (La Licorne), L’absence de guerre, de David Hare (Théâtre du Trident), Les flâneurs célestes, d'Annie Baker (Théâtre Prospero), et Constellations, de Nick Payne (La Licorne). Pour Duceppe, il a traduit les pièces Ils étaient tous mes fils, d’Arthur Miller, Oslo, de J.T. Rogers, et Salle de nouvelles, de Lee Hall, en plus de signer l'adaptation du film Gaz Bar Blues, de Louis Bélanger.

En 2009, mû par le désir d’établir un pont avec la dramaturgie anglo-saxonne émergente, il a cofondé LAB87 avec Mathieu Quesnel, François-Simon Poirier et Jean-Simon Traversy. La compagnie a notamment présenté la pièce Quand la pluie s'arrêtera, d’Andrew Bovell, chez Duceppe, en plus de produire L’obsession de la beauté, Les flâneurs célestes, Tribus, Constellations, Yen, Quand la pluie s’arrêtera, L’amour est un dumpling, Il faudra bien qu’un jour et Toutes les choses parfaites, à La Licorne. Ces trois dernières productions ont été reprises dans le cadre des 5 à 7 Duceppe.

Photo: Maxyme G. Delisle

SALLE DE NOUVELLES 
Durée approximative: 1h50 sans entracte 


Texte

LEE HALL


D’après le scénario de
PADDY CHAYEFSKY


Mise en scène
MARIE-JOSÉE BASTIEN


Traduction
DAVID LAURIN 


Une coproduction
DUCEPPE, LE TRIDENT, THÉÂTRE NIVEAU PARKING


INTERPRÉTATION


Animateur de foule, Jack Hayek, régisseur plateau, secrétaire
MUSTAPHA ARAMIS


James Hunter, réalisateur, caméraman
SYLVIO ARRIOLA


Frank Hackett, technicien
CHARLES-ÉTIENNE BEAULNE


Mr Jensen, Jack Davis, annonceur, technicien
EMMANUEL BÉDARD 


Howard Beale
DENIS BERNARD


Barbara Schmidt, assistante de production, régisseuse plateau, chanteuse, itinérante
FLORENCE BLAIN MBAYE


Ed Kelly, réalisateur 1, secrétaire, assistant de production 3, caméraman
LUC BOURGEOIS


Diana Christiensen, maquilleuse, technicienne
GABRIELLE CÔTÉ 


Max Kaufman, technicien
HUGUES FRENETTE 


James Hunter, réalisateur, terroriste, caméraman principal
ELIOT LAPRISE 


Elizabeth Grant, assistante de production, réalisatrice, technicienne
MARIE MICHAUD 


Louise Kaufman, caméraman, secrétaire, régisseuse de plateau
MARIE-EVE PELLETIER

CONCEPTIONS ET COLLABORATIONS


Assistance à la mise en scène et régie
CHRISTIAN GARON


Scénographie et accessoires
MARIE-RENÉE BOURGET HARVEY
assistée de

GUYLAINE PETITCLERC 
MAYUMI IDE-BERGERON


Costumes
SÉBASTIEN DIONNE
assisté de

MAGALI DELORME


Éclairages
ERWAN BERNARD
assisté de

JOËLLE LEBLANC


Musique
STÉPHANE CARON


Conception vidéo
ELIOT LAPRISE


Intégration vidéo
STEVE MONTAMBAULT


Direction technique
ACHILLE MARTINEAU


Maquillages
BÉATRICE LECOMTE-ROUSSEAU

Confection des costumes
PAR APPARAT, CONFECTION CRÉATIVE ISABELLE ROGER et MARIE LAFLAMME


Perruques
CYBÈLE PERRUQUES
RACHEL TREMBLAY


Coiffures
FLORIAN VAN WAMBEKE


Construction du décor
CONCEPTION ALAIN GAGNÉ


Conception des chariots
CHRISTIAN FONTAINE pour la pièce
On achève bien les chevaux


Conception graphique

MARIE-JOSÉE BOURGET HARVEY


Production graphique
NICOLAS GILBERT


Animation du logo et des génériques
CHARLES-ÉTIENNE BEAULNE


Recherche des vidéos d’archive

JULIE ALLARD

Cheffe habilleuse
DIANE LEDUC


ÉQUIPE TECHNIQUE


Les services techniques assumés par

Chef machiniste
JEAN-PIERRE DEGUIRE


Chef sonorisateur
DAVE LAPIERRE


Chefs éclairagistes
SYLVAIN RATELLE
CHARLES-PHILIPPE LAURIER


Chef accessoires
ALBERT JOMPHE


Chef vidéo
RODÉRIC DYON


Assistant aux micros sans-fil
LUIS ALBERTO SANCHEZ

ÉQUIPE DUCEPPE

Codirection artistique
DAVID LAURIN et JEAN-SIMON TRAVERSY

Direction générale
AMÉLIE DUCEPPE

Direction administrative
SAM LABRECQUE

Direction de production
HAROLD BERGERON

Direction des communications et du marketing
MARIE-CLAUDE HAMEL


Direction technique
CLAUDIO BUONO

Gestionnaire des ventes et du service à la clientèle
JULIE VIGNEAULT


Responsable – Philanthropie et partenariats
ANTONINE SALINA


Chargée de projets - communications
MAGALI DORÉ


Coordination de production
JOSIANNE MONETTE


Coordination marketing
SOPHIE CAZENAVE


Coordonnateur aux communications: productions en accueil
STEAVE RUEL


Coordination philanthropie et partenariats
CATHERINE GINGRAS


Adjoint aux ventes
JOËL FULLUM GRENIER


Assistant à la direction technique
ACHILLE MARTINEAU


Comptabilité
JOSÉE PRAIRIE
MORGANE MORU


Préposée aux ventes
DAPHNÉ BACHANT


Préposées aux abonnements
ALICE BLOUIN DESCOSTE
EDEN PARADIS

Les personnes malentendantes peuvent apporter leur baladeur et le régler sur la fréquence Place des Arts 107,9 FM.


Les représentations de Salle de nouvelles sont rendues possibles grâce au Plan de relance économique du milieu culturel du gouvernement du Québec.


Duceppe est membre de Théâtres associés (T.A.I.)

Merci à nos partenaires gouvernementaux

AVERTISSEMENT: La pièce aborde le sujet du suicide. Nous préférons vous en avertir.

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