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Duceppe

Programme — N'essuie jamais de larmes sans gants

Du 6 au 17 décembre 2023, Duceppe présente la pièce N’essuie jamais de larmes sans gants d'après le roman de Jonas Gardell, adapté pour la scène par Véronique Côté. Une production du Trident en coproduction avec le collectif Nous sommes ici.

Photo: Kelly Jacob
David Laurin et Jean-Simon Traversy

Mot des codirecteurs artistiques

Alexandre Fecteau, directeur artistique de Nous sommes ici, nous a approchés pour coproduire, avec eux et le Trident, l’adaptation du magnifique roman de Jonas Gardell, N’essuie jamais de larmes sans gants. À l’époque, nous avions dû nous désister, le cœur gros, par souci d’équilibre de saison. Nous étions toutefois immensément curieux et confiants de la qualité du spectacle. Lorsque nous sommes allés au Théâtre du Trident pour assister à une représentation, l’audace de la proposition et l'investissement des interprètes traversaient le cadre de scène et enveloppaient le public. Il était alors évident que nous devions reprendre le spectacle dans notre toute nouvelle série En rappel.

La série En rappel, c’est la chance pour le public de voir le meilleur des scènes d’ici, chez Duceppe. On souhaite, en effet, reprendre rapidement des spectacles qui connaissent du succès dans d’autres théâtres pour continuer le rayonnement des propositions réussies et convertir davantage de spectateur·ice·s à la force du théâtre.

Ici, N’essuie jamais de larmes sans gants, roman du Suédois Jonas Gardell, est un tour de force. Comme le dit Nous sommes ici, c’est «à la fois une merveilleuse histoire d’amour, d’amitié et de solidarité, mais également le récit d’une maladie qui a fait de terribles ravages et marqué toute une communauté.» Ce récit essentiel est porté de main de maître par Véronique Côté, à l’adaptation, Alexandre Fecteau, à la mise en scène, une équipe de 16 interprètes sur scène, et un grand travail conceptuel et technique.

Nous sommes si fiers d’accueillir cette œuvre poignante chez Duceppe.

Merci à vous, cher public, pour votre curiosité, votre fidélité et votre enthousiasme.

Bon spectacle!

David et Jean-Simon
Codirecteurs artistiques

Alexandre Fecteau

Mot du metteur en scène

J’ai toujours su que je voulais raconter une histoire se rattachant à l’épidémie de VIH/sida. L’enfant que j’étais qui, dans les années 90, se couchait trop tard pour regarder le Téléjournal, a été profondément marqué par les images de corps décharnés, le scandale du sang contaminé et l’homophobie alimentée par la peur de la maladie. Ma rencontre avec le roman de Jonas Gardell a donc été ni plus ni moins qu’un choc, un immense déclic, un appel à l’action. Non seulement raconte-t-il de façon extrêmement émouvante qui étaient les victimes – de ( très ) jeunes hommes en quête de bonheur et d’amour à l’orée d’une affirmation collective – mais son texte est empreint d’une colère juste, réfléchie et bien sentie envers toutes les lâchetés et cruautés qui ont eu cours au début de l’épidémie:

On a du mal à croire que ce soit vrai.
On a du mal à croire que ça ait pu se produire, ici, en Suède.
Mais c’est vrai. [...]
Médecins, journalistes, rédacteurs en chef, éditorialistes, politiciens, policiers, pasteurs, juristes, personnes d’autorité des deux sexes se sont rendus coupables de cet abus de pouvoir ; et aucun d’entre eux n’a une seule fois eu à répondre de la souffrance et du désespoir qu’il a causé à un groupe qui était déjà extrêmement exposé.

On a du mal à croire que ça ait pu se produire ici aussi, au Québec, au Canada. Je n’ai pas vécu l’épidémie de façon directe, encore moins dans sa phase la plus meurtrière. Mais je sens que j’ai hérité d’une bonne dose de colère. Et les efforts sans précédent déployés pendant la pandémie de Covid-19 n’auront que renforcé ce sentiment d’injustice.

Nous avons assisté à la démonstration du fait que des efforts colossaux peuvent être mis en place pour faire face à une menace. Que le cours normal de notre existence peut être remis en question pour sauver des vies. Autrement dit, que le courage politique existe. Mais ce courage a malheureusement tendance à être sélectif. Les populations marginalisées qui ont été les premières victimes du VIH n’ont pas suscité, du moins avant longtemps, ce genre d’engagement de la part de nos décideurs. On attribue à René Lévesque d’avoir dit que la meilleure façon de juger un gouvernement, c’est de regarder sa façon de traiter les minorités. Cette idée m’habite depuis près de cinq ans en préparation pour ce spectacle. Et je me demande encore : sommes-nous à la hauteur?

P.S. Dans un autre ordre d’idée, je veux souligner l’engagement exceptionnel de l’équipe de création de ce spectacle qui, depuis plus de deux ans, met à profit l’ensemble de ses talents et son amour du roman de Jonas Gardell. Je vous invite aussi à profiter des événements et contenus complémentaires mis en place en marge du spectacle  balado, exposition dans le foyer, conférence, table ronde.

Alexandre Fecteau
Metteur en scène et directeur artistique du collectif Nous sommes ici

Bio d'Alexandre Fecteau

Alexandre Fecteau est à la fois un metteur en scène et un auteur récipiendaire du Prix John-Hirsch et du RBC Rising star Emerging Director Prize, tous deux remis en reconnaissance d’un grand potentiel.

Avec le collectif Nous sommes ici, dont il assure la direction artistique, il a créé L’étapeChanging RoomLa date puis Le NoShow, présenté plus de 100 fois au Québec, en France, en Suisse et au Mexique, et qui lui a valu les Prix Œuvre de l’année Capitale-Nationale en 2015 (CALQ) et Rayonnement international en 2018 (Conseil de la Culture Capitale-Nationale). En 2018, il a présenté avec le collectif, sa cinquième création: Hôtel-Dieu, un triptyque documentaire sur la souffrance, le deuil et les rituels suivie d’Entre Autres en 2019, une nouvelle création documentaire sur les idéologies composant le «mystère Québec». Au printemps 2021, il présentait au Théâtre La Bordée sa dernière création, Singulières, une pièce de théâtre documentaire abordant le sujet du célibat féminin.

À titre de metteur en scène invité, il a signé la mise en scène de Rhinocéros de Ionesco et Amadeus de Peter Shaffer au Théâtre du Trident (Prix de la meilleure mise en scène et Meilleure spectacle Québec aux Prix de la Critique de l’AQCT). Au Théâtre de la Bordée, c’est à lui qu’on a demandé d’actualiser la pièce mythique Les fées ont soif de Denise Boucher, qui n’avait jamais été remontée depuis sa création en 1978 (Meilleur spectacle Québec aux Prix de la critique de l’AQCT), puis À toi pour toujours, ta Marilou de Michel Tremblay en 2017. De plus il a monté Le timide à la cour de Tirso de Molina, pour le Théâtre Denis-Pelletier et le Théâtre de la Banquette arrière à Montréal en 2016.

Abonné à la création in situ, il a participé à deux éditions du spectacle déambulatoire Où tu vas quand tu dors en marchant…? avant d’être nommé à la coordination artistique de l’événement en 2016. Il a été invité à créer l’événement d’ouverture du Pavillon-Lassonde du Musée National des Beaux-arts du Québec. Il a aussi fait une première incursion du côté des arts du cirque en assurant la mise en scène de Transit, la deuxième création de la compagnie de cirque contemporain Flip Fabrique présenté en tournée à travers le monde depuis 2016.

Photo: Stéphane Bourgeois
Véronique Côté

Adapter un monument littéraire: entretien avec Véronique Côté

En adaptant pour la scène le roman N’essuie jamais de larmes sans gants, Véronique Côté s’est attaquée à un véritable monument de la littérature contemporaine: magistral hymne à la vie et à la tolérance, le roman du Suédois Jonas Gardell s’est vendu à plus d’un demi-million d’exemplaires. Pas de quoi intimider la comédienne, autrice et metteuse en scène qui, une fois remise de son «choc de littérature», a endossé pleinement son rôle de «passeuse» pour transformer l'œuvre en pièce de théâtre. Retour sur la genèse d’une adaptation réussie.

Le Trident: Tu es née au tout début des années 1980, exactement dans les années où se situe le roman. Qu’as-tu appris à ta première lecture, comment as-tu reçu tout ça?

Véronique Côté:

Pour moi, cette œuvre-là a vraiment été un choc de littérature, au sens où je considère que c’est une grande œuvre du roman contemporain. À cause de l’histoire qui y est racontée oui, mais aussi à cause de la littérature. Pour moi, ce sont deux piliers aussi porteurs l’un que l’autre de cette œuvre-là.

J’ai été bouleversée par l’histoire, parce que ce n’est pas cette histoire-là que nous avons connue. Moi quand j’ai connu le sida, c’était au début de l’éducation sexuelle collective, c’était une espèce de menace; il y avait la drogue et le sida. Nous étions au cœur d’une campagne de prévention, mais nous n’avons jamais connu l’apparition de l’épidémie et ne l’avons pas connue de manière intime, soit dans notre cercle d’ami·e·s ou avec nos proches. Or, quand je parle de ce roman-là avec des gens un peu plus âgé·e·s que moi, c’est toujours directement lié à des histoires de vie intenses, à des personnes perdues. Une femme m’a déjà dit «moi, quand j’ai lu ce roman-là, je devais le déposer, souvent. C’était trop intense ce que ça faisait remonter. Je l’ai vécu ça, c’était dans mon cercle à moi.»

Lire la suite de l'entrevue sur notre blogue!

Bio de Véronique Côté

Véronique Côté est comédienne, autrice et metteuse en scène. Depuis sa sortie du Conservatoire d’art dramatique de Québec en 2002, elle a joué dans près d’une trentaine de productions théâtrales et a été dirigée notamment par Édith Patenaude, Wajdi Mouawad, Frédéric Dubois et Steve Gagnon. Elle était de la distribution de 1984 (Théâtre du Trident / Théâtre Denise-Pelletier) et de Fendre les lacs (Théâtre aux Écuries / Théâtre Périscope). On a également pu voir son talent dans Attentat (Théâtre de Quat’sous) et La fête sauvage (Théâtre de Quat’sous), deux créations auxquelles elle a collaboré comme co-autrice et comme metteuse en scène. Chez Duceppe, on a pu la voir dans Quand la pluie s'arrêtera d'Andrew Bovell en 2017 et dans Consentement de Nina Raines en 2019.

Au petit écran, nous avons pu voir Véronique dans Complexe G, une réalisation de Pierre Paquin, ainsi que dans Léo, une émission de Fabien Cloutier, diffusée sur le Club Illico. Sur grand écran, Véronique a été de la distribution de Madame Mollard, un court métrage de L. Hurtubise et M-Émilie St-Pierre.

À titre de metteuse en scène, elle a dirigé également les pièces Faire l’amour, Scalpée et Venir au monde d’Anne-Marie Olivier. Ses pièces pour enfants Flots, Tout ce qui brille voit et Les choses berçantes, dont elle signe également les mises en scène, ont eu un magnifique rayonnement au Québec et en France. Comme autrice, elle co-écrit, avec Steve Gagnon, le recueil Chaque automne j’ai envie de mourir, publié dans la collection Hamac. Elle publie sa pièce Tout ce qui tombe - finaliste aux Prix du Gouverneur général en 2013 - aux Éditions Leméac, et chez Nouveau Projet (Atelier 10), elle publie La vie habitable, les collectifs S’appartenir(e) et La fête sauvage, ainsi que les articles Îles (trois) et La consigne lumineuse. Le projet politique Ne renonçons à rien, édité chez Lux, bénéficie également de sa plume. Avec la pièce Je me soulève, collectif qu’elle co-dirige avec Gabrielle Côté, elle prouve une fois encore que sa vision et son talent indéniable font d’elle une voix nécessaire pour alimenter la poésie dans la communauté. Véronique signe également des chroniques dans le Devoir ainsi qu’à la radio, sur la chaîne ICI Première.

Dernière mise à jour: printemps 2023

Une production

En coproduction avec le collectif

Remerciements

Pierre Berthelot, Samuel Corbeil, Emmanuelle Blouin, Thomas Boudreault- Côté, Anne-Marie Côté, Jean-Philippe Côté, Nicolas Drolet, Miguel Fontaine, Stéphanie Hayes, Guy Gagnon, Patrick Labbé, Sandy Laflamme, Pascale Lalonde, François Leclerc, René Légaré, Vincent Legault, Hubert Lemire, Catherine-Élizabeth Loiselle, Johan Martelius, Jérémie Michaud, Anne-Marie Olivier, Olivier Poulin, Caroline Ross, Pierre-Olivier Roussel, Ian Thibault, Réjean Vallée, Frédérique Bradet, le conseil d’administration de Nous sommes ici et le Conservatoire de musique de Québec.

N'ESSUIE JAMAIS DE LARMES SANS GANTS
Durée approximative: 3h30 incluant l'entracte


D’après le roman de

JONAS GARDELL


Traduction

JEAN-BAPTISTE COURSAUD et LENA GRUMBACH


Adaptation pour la scène

VÉRONIQUE CÔTÉ


Mise en scène

ALEXANDRE FECTEAU


Direction musicale

ANNE-MARIE BERNARD


Une production du

TRIDENT
en coproduction avec le collectif

NOUS SOMMES ICI


INTERPRÉTATION


Rasmus

OLIVIER ARTEAU


Benjamin

MAXIME BEAUREGARD-MARTIN


Bengt

GABRIEL CLOUTIER TREMBLAY


Britta, aide-soig, Christina, Arkadina et autres personnages

VÉRONIQUE CÔTÉ


Seppo

LAURENT FECTEAU-NADEAU


Harald, Alf, spectateur, frère Bengt et autres personnages

HUGUES FRENETTE


Sara, Infirmière, Suzanne Osten, Mère Bengt et autres personnages

ÉRIKA GAGNON


Holger, Igmar, Lasse, Dom, infirmier frère Bengt et autres personnages

JONATHAN GAGNON


Lars-Ake, l'Homme

ISRAËL GAMACHE


Reine

SAMUEL LA ROCHELLE


Betty, Mado, l'inconnue, infirmière

CARLA MEZQUITA HONHON


Paul

MAXIME ROBIN


Pianiste

ANNE-MARIE BERNARD 


Violoncelliste

MARIE-LOUP COTTINET 


Violoniste

JEAN-FRANÇOIS GAGNÉ 


Altiste

KARINA LALIBERTÉ 

CONCEPTIONS ET COLLABORATIONS


Assistance à la mise en scène
ELIZABETH CORDEAU RANCOURT


Scénographie
ARIANE SAUVÉ


Costumes
ÉMILY WALHMAN
assistée d’
ÉMILIE POTVIN


Éclairages
ELLIOT GAUDREAU


Conception accessoires
JEANNE LAPIERRE


Arrangements musicaux
JEAN-FRANÇOIS GAGNÉ


Conception sonore
MIRIANE ROUILLARD


Régie
CHARLOTTE LEGAULT


Direction de production
LAURENCE CROTEAU-LANGEVIN


ÉQUIPE DE PRODUCTION


Direction artistique
OLIVIER ARTEAU et ANNE-MARIE OLIVIER


Direction technique
JULIE TOUCHETTE et ÉMILIE POTVIN


Adjointe à la production
JANIE LAVOIE


Direction d’intimité
STEPHANIE BRETON


Maquillage
ÉLÈNE PEARSON


Coiffure
JOSÉE BRISSON


Aide technique
PIERRE GAGNÉ et CORENTIN CHABERT


Patine
AMÉLIE TRÉPANIER, ALICE POIRIER, GENEVIÈVE BOURNIVAL, GÉRALDINE RONDEAU


Construction et conception des décors

ALAIN GAGNÉ


ÉQUIPE DU COLLECTIF NOUS SOMMES ICI


Directeur artistique
ALEXANDRE FECTEAU


Directrice générale
MARIE-HÉLÈNE NAULT LEBLANC


Coordinatrice artistique
FRÉDÉRIQUE BRADET


Concepteur sonore
FRANÇOIS LECLERC


Scénographe
ARIANE SAUVÉ


Directrice administrative et de production
STÉPHANIE HAYES

ÉQUIPE DU TRIDENT


Codirecteur général et directeur artistique

OLIVIER ARTEAU


Codirecteur général et directeur administratif

MARC-ANTOINE MALO


Directrice de production

LAURENCE CROTEAU LANGEVIN


Adjointe à la direction de production

JANIE LAVOIE


Directrice technique

JULIE TOUCHETTE


Directrice des communications

MYLÈNE FEUILTAULT


Coordonnatrice aux communications / relations de presse

SOPHIE VAILLANCOURT-LÉONARD


Coordonnatrice aux projets spéciaux

MARIE-CATHERINE LANTHIER


Coordonnatrice du développement scolaire et de la médiation culturelle

JOANIE BERNARD


Service à la clientèle

SAVINA FIGUERAS


Directrice du développement philanthropique et des partenariats

VERONIC LAROCHELLE

Contrôleur
JÉRÔME LAMBERT


Adjoint administratif

MATHIEU TURCOTTE


ÉQUIPE TECHNIQUE DUCEPPE


Les services techniques assumés par

Direction technique (Duceppe)
ACHILLE MARTINEAU


Chef machiniste
JEAN-PIERRE DEGUIRE


Chef éclairagiste
SYLVAIN RATELLE


Chef sonorisateur
DAVE LAPIERRE


Chef accessoiriste
ALBERT JOMPHE


Habilleuse
DIANE LEDUC

ÉQUIPE DUCEPPE


Codirection artistique
DAVID LAURIN et JEAN-SIMON TRAVERSY


Direction générale
AMÉLIE DUCEPPE


Direction administrative
SAM LABRECQUE


Direction de production
HAROLD BERGERON


Direction des communications et du marketing
MARIE-CLAUDE HAMEL


Direction technique
CLAUDIO BUONO
LOUIS CARPENTIER


Gestionnaire des ventes et du service à la clientèle
JULIE VIGNEAULT


Responsable – Philanthropie et partenariats
ANTONINE SALINA


Chargée de projets - communications
MAGALI DORÉ


Coordination marketing
SOPHIE CAZENAVE


Responsable des relations avec la communauté
STEAVE RUEL


Coordination - philanthropie et partenariats
CATHERINE GINGRAS

Coordination de production
SOPHIE MARTIN


Adjoint aux ventes
JOËL FULLUM GRENIER


Adjointe à la direction des communications et du marketing
DAPHNÉ BACHANT


Assistant à la direction technique
ACHILLE MARTINEAU


Comptabilité
JOSÉE PRAIRIE
MORGANE MORU


Préposées aux ventes
MARIE-JOSÉE RIOUX


Remerciements pour le piano
PIANO HÉRITAGE


Les personnes malentendantes peuvent apporter leur baladeur et le régler sur la fréquence Place des Arts 107,9 FM. Il est aussi possible d'emprunter un baladeur sur place. Les appareils sont disponibles à la barrière de perception des billets, à l'entrée du Théâtre Jean-Duceppe, et seront prêtés en échange d'une carte d'identité. Simplement en faire la demande au personnel d'accueil. Il est également possible d'emprunter des écouteurs. Ceux-ci seront nettoyés entre chaque utilisation.


Duceppe est membre de Théâtres associés (T.A.I.)

Merci à nos partenaires gouvernementaux

À voir dans le foyer du Théâtre Jean-Duceppe

Le sida en affiches + L’activisme esthétique d’ACT UP

Duceppe expose 21 affiches tirées de la collection des Archives gaies du Québec qui permettent d’illustrer les campagnes de sensibilisation déployées depuis les années 1980 auprès des différentes communautés LGBTQ2S+ à travers le monde. De plus, une sélection de photos tirée des collections des Archives gaies du Québec, prises par René LeBoeuf, photographe d’ACT UP Montréal, illustrant l’activisme esthétique de l’organisme, sera également projetée dans le foyer.

BIENTÔT À L'AFFICHE