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Duceppe

Programme Corps fantômes

Du 22 octobre au 22 novembre 2025 au Théâtre Jean-Duceppe de la Place des Arts, Duceppe présente, en coproduction avec La Messe Basse, la pièce Corps fantômes.

David Laurin et Jean-Simon Traversy

Mot des codirecteurs artistiques

Corps fantômes est né ici, chez Duceppe. C’est l’une de ces créations qui prennent racine lentement, au fil des rencontres, dans le cadre de nos résidences d’écriture. Une aventure collective portée par la compagnie La Messe Basse, sous la direction de Jérémie Boucher, de Dany Boudreault et de Maxime Carbonneau, nourrie par une cellule d’écriture exceptionnelle où se côtoient huit autrices et auteurs aux univers distincts, mais habité·es par une même urgence: celle de raconter.

Ensemble, iels sont parti·es remonter le fil du temps pour raconter une page méconnue de notre histoire récente: celle de la communauté LGBTQIA2+ montréalaise dans les années 1990, alors qu’elle faisait face à la peur, à la répression et au VIH. Corps fantômes nous parle de mémoire et de solidarité, d’écoute et d’empathie. Il nous rappelle qu’il est essentiel de transmettre d’où l’on vient pour mieux affirmer qui nous sommes aujourd’hui.

Nous avons rarement rencontré un groupe d’artistes aussi soudé·es. Rassemblé·es pour faire revivre une époque et ressentir cette histoire essentielle. Ensemble pour ne pas oublier. Pour raconter encore. Parce que raconter, c’est exister. C’est dire que nous sommes là. Et surtout, c’est partager — par l’identification — nos enjeux, nos chavirements et les émotions qui font qu’on peut, ensuite, mieux vivre ensemble.

On ne peut conclure sans saluer Claude Poissant, décédé subitement le 6 juin dernier. Claude a pris part aux premières étapes de recherche du projet. Il y a partagé, avec générosité, son expérience et sa curiosité infinie. Une grande part de lui habite ce spectacle. Son legs au milieu théâtral est immense et sa lumière continuera longtemps à nous montrer le chemin.
On s’ennuie de toi, Claude.

Merci et merde à toute l’équipe de création de Corps Fantômes!

Merci à l’équipe solide et solidaire de Duceppe!

Et finalement, merci à vous d’être parmi nous aujourd'hui!

David et Jean-Simon
Codirecteurs artistiques

Le collectif Corps fantômes

Mot des auteur·ices

François Édouard Bernier, Dany Boudreault, Maxime Carbonneau, Sébastien David, Christian Fortin, Célia Gouin-Arsenault, Joephillip Lafortune et Matéo Pineault

Corps fantômes est né d’un «nous» tissé de plusieurs «je» assoiffés de sens devant la recrudescence de la violence à l’endroit des minorités sexuelles aujourd’hui. 

À l’image du «comité sur la violence» dans la pièce, nous avons formé une coalition pour creuser une matière sensible: celle de luttes, de blessures, de mémoires qui ont façonné la communauté LGBTQIA2+ à laquelle nous appartenons tous et toutes, et dont le passé demeurait étrangement flou. Nous voulions aussi écrire à partir de notre vécu montréalais et nous dégager d’une mythologie reliée surtout aux États-Unis. 

Au fil de quatre années de travail, un processus de transmission s’est naturellement installé, et nous avons commencé à jouer aux reporters, et à récolter des témoignages qui ont finalement inspiré les personnages de la pièce. Nous avons mis au point une méthode d’écriture à la fois stricte et organique. Chacun·e apportait ses forces — trame, personnages, dialogues — et les décisions se prenaient collectivement, après des débats serrés. Même ceux et celles qui n’avaient jamais écrit de théâtre ont plongé. À force, un inconscient collectif s’est forgé, une sorte de bête à huit têtes. Et c’est dans la contrainte de ces dialogues à toute épreuve que l’épopée a pris chair et que les subtilités d’un sujet complexe ont émergé. 

Ainsi, Corps fantômes est devenu une fiction documentée où se croisent des figures réelles — comme Michael Hendricks, René Lebœuf, Roger Le Clerc, Claudine Metcalfe et Réjean Thomas — et des personnages fictifs. Et puis, nous avons fait danser les époques, les années 90 et le présent, pour retracer une mémoire occultée, essentielle à comprendre. 

Corps fantômes ressemble à ce «nous fragile». Car créer ensemble, débattre, implique toujours une fragilité. Et c’est peut-être là, dans cet entrelacs de vulnérabilités, quelque part entre tous ces «je», que naît le sentiment de communauté, et que nous nous armons pour l’avenir.

François Édouard Bernier, Dany Boudreault, Maxime Carbonneau, Sébastien David, Christian Fortin, Célia Gouin-Arsenault, Joephillip Lafortune et Matéo Pineault

Maxime Carbonneau

Mot du metteur en scène

Ce projet est né pendant la pandémie de Covid-19, à un moment où le monde s’est refermé sur lui-même et où le gouvernement du Québec avait décrété que seules les familles biologiques pouvaient être ensemble. Cette mesure, en apparence neutre, m’a frappé par ce qu’elle révélait: une méconnaissance des structures sociales non normatives. Face au danger, les familles qu’on choisit ne comptaient pas. Pourtant, ce sont souvent elles qui nous sauvent.

C’est dans ce contexte d’isolement forcé que j’ai mesuré à quel point mes ami·es plus âgé·es occupaient une place essentielle dans ma vie. Ils et elles portent en eux les traces d’une époque que ma génération n’a pas connue: les années marquées par la peur, par la naissance d’une solidarité nouvelle en réaction à la violence qui fusait de toutes parts, et à la construction de ce qu’on appelle aujourd’hui la Fierté. Ces ami·es m’ont appris que la mémoire se transmet par les liens humains.

Quand on naît homosexuel·le, on grandit entouré·e d’hétérosexuel·les, bien sûr. Ce sont elles et eux qui nous élèvent, souvent avec bienveillance, mais sans pouvoir nous transmettre notre propre histoire. On ne nous enseigne pas d’où nous venons. On ne nous parle pas de celles et ceux qui ont marché avant nous; des drames, des luttes et des élans de joie qui ont rendu nos vies possibles. C’est grâce à mes ami·es plus âgé·es que j’ai pris conscience de ce patrimoine invisible qu’il me fallait transmettre à mon tour pour le protéger.

Corps fantômes est né de ce désir: collectiviser ces rituels de transmission et créer un espace où les générations se rencontrent, se questionnent et se répondent. De là est née une démarche de recherche, d’écriture et d’enquête qui nous a mené·es à rencontrer des militant·es, des chercheur·euses, des témoins.

Corps fantômes est une fiction documentée. C’est une œuvre où le travail d’invention et le travail de mémoire se confondent, où l’imaginaire sert à réparer les trous de l’histoire et à y déposer les fragments de récits et de faits, de personnes réelles, d’anonymes qui ont bâti notre liberté collective et à qui nous rendons hommage. Cette histoire que nous racontons n’est pas seulement celle de notre communauté, mais appartient à l’histoire du Québec.

Huit co-auteur·ices ont pris part à l’écriture. Ensemble, nous avons exploré les années 1990 à Montréal, une décennie marquée par une vague de meurtres visant des hommes homosexuels, par la persistance de la violence policière et par l’épidémie du sida. C’est aussi une période de résistance et de réinvention: des membres du milieu communautaire ont alors mené une bataille acharnée pour que la Commission des droits de la personne tienne des audiences publiques sur les violences systémiques envers notre communauté.

Pendant que le Québec avançait vers un second référendum et se racontait dans une quête identitaire nationale, d’autres batailles se jouaient dans les marges, des batailles pour la dignité, pour le droit d’exister, pour la simple possibilité de vivre sans peur. Ces luttes souterraines ont façonné le climat d’apparente sécurité dans lequel ma génération a grandi.

Je cherche, dans le théâtre, à être transformé par le processus et à amener avec moi celles et ceux qui m’entourent. Ce soir, celles et ceux qui se présentent devant vous ont traversé cette histoire récente, se sont laissé traverser par elle et se tiennent ici transformé·es. Ensemble, ils et elles forment une famille choisie, une communauté éphémère mais bien réelle, tissée par le travail, l’écoute, l’entraide et la solidarité.

À travers cette fiction documentée, nous refusons l’oubli. Parce que la mémoire queer n’existe pas naturellement. Elle doit être reconstruite, écrite, répétée, incarnée. Corps fantômes tente de transformer la gratitude et l’admiration que je ressens pour mes ami·es plus âgé·es en un geste collectif qui regarde le passé pour mieux parler au présent.

Ce soir, je vous invite à entrer dans cette traversée. À rencontrer ces fantômes bienveillants qui veillent sur nous. À reconnaître, dans leurs voix, quelque chose de vos propres filiations. Et, peut-être, à sentir, comme nous, qu’on ne se construit jamais seul·e, qu’on se construit à travers celles et ceux qui, avant nous, ont tenu la main de l’autre dans la nuit.

Maxime Carbonneau
metteur en scène

Jérémie Boucher, Dany Boudreault et Maxime Carbonneau pour La Messe Basse

Mot du coproducteur

L’équipe de La Messe Basse est fière de s’unir à celle de Duceppe pour présenter ce projet d’envergure, le plus ambitieux de son histoire. Une simple conversation dans le bureau de Jean-Simon et David nous a embrasé·es et motivé·es à aller au bout de l’aventure. Nous vivons pour ce genre de feu, d’élan fou et inspiré. Notre alliance avec Duceppe repose sur une conscience commune de ce que le théâtre peut apporter à la cité. C’est ainsi que depuis quatre ans, nous marchons côte à côte, lié·es dans une communauté d’esprit, traversant les joies et les épreuves d’une telle relation, féconde.

Corps fantômes reflète les valeurs qui nous habitent à La Messe Basse: la solidarité, et l’art comme outil de débat et de sens. Depuis 12 ans, nous explorons les angles morts de notre société en imaginant des processus exigeants et des formes qui leur rendent justice. Ce travail nous confronte, non sans effroi, à une évidence: en racontant les luttes d’hier, Corps fantômes parle des luttes d’aujourd’hui, et pressent déjà celles de demain.

C’est donc dans un sentiment d’urgence, voire de résistance, que nous faisons du théâtre notre porte-voix et notre bouclier. Et si, par cette œuvre, nous parvenons à entrouvrir une brèche où passerait un peu de lumière, un peu d’espoir, ce serait déjà immense. Comme le rappelle Douglas Buckley-Couvrette dans l’acte 2: «Oui, y en a, de l’espoir. Au-delà de l’espoir d’un traitement, l’espoir d’être vus et respectés pour ce qu’on est.»

À l’espoir,

Bon spectacle.

Jérémie Boucher, Dany Boudreault et Maxime Carbonneau pour La Messe Basse

En savoir plus sur La Messe Basse

Fondée avec la volonté de bousculer les formes et d’interroger notre rapport au réel, La Messe Basse combine la rigueur des processus documentaires aux possibilités sensibles de la fiction. La compagnie développe une approche queer du théâtre, faisant émerger de nouveaux langages au croisement inattendu des formes et des médiums. Cette démarche, attentive aux dynamiques de pouvoir, aux classes sociales et aux angles morts de la mémoire collective, favorise la rencontre et la multiplicité des points de vue.

Sous la direction artistique de Dany Boudreault et Maxime Carbonneau, La Messe Basse allie exigence intellectuelle et accessibilité. Cette vision puise sa force dans la complicité créative et la personnalité des trois fondateurs, Jérémie Boucher, et les codirecteurs artistiques. La compagnie renouvelle sans cesse les codes du spectacle vivant, explorant de nouvelles façons d’éclairer notre monde sous des angles sensibles et inusités.

source : lamessebasse.com

AVERTISSEMENTS:

La pièce contient des scènes de nudité, de sexualité explicite, de consommation de drogue et la représentation d’actes violents. Nous préférons vous en avertir. Des effets stroboscopiques sont utilisés pendant le spectacle. Les cigarettes fumées sur scène sont des accessoires théâtraux et ne contiennent aucun tabac ni nicotine.

CORPS FANTÔMES
Durée: environ 3h30, incluant l'entracte


Texte
Le collectif Corps fantômes:
FRANÇOIS ÉDOUARD BERNIER
DANY BOUDREAULT
MAXIME CARBONNEAU
SÉBASTIEN DAVID
CHRISTIAN FORTIN
CÉLIA-GOUIN-ARSENAULT
JOEPHILLIP LAFORTUNE
MATÉO PINEAULT


Script édition
DANY BOUDREAULT


Mise en scène
MAXIME CARBONNEAU


Une coproduction 
DUCEPPE
LA MESSE BASSE


INTERPRÉTATION


Michael Hendricks
QUINCY ARMORER


DJ

PAOLO ASKIA


René Leboeuf, Dr Réjean Thomas

FRANÇOIS ÉDOUARD BERNIER


Douglas Buckley-Couvrette, Dr Michel Marchand

DANY BOUDREAULT


Caroline

SOPHIE CADIEUX


Gauthier, Josée Hivon, Michelle Rossignol
PHILIPPE COUSINEAU


Francis

GABRIEL CLOUTIER-TREMBLAY


Roger Leclerc

SÉBASTIEN DAVID


Rachel

ÉLIE DORVAL


Sylvain

FRANCIS DUCHARME


Serge

CHRISTIAN FORTIN


Marion

CÉLIA GOUIN-ARSENAULT


Mo

JOEPHILLIP LAFORTUNE

Claudine Metcalfe, Marie-Marcelle Godbout
CHARLIE MONTY


Jocelyn

RENAUD SOUBLIÈRE


CONCEPTIONS ET COLLABORATIONS


Dramaturgie à l’étape de recherche
MATHILDE BENIGNUS


Assistance à la m.e.s. et régie
STÉPHANIE CAPISTRAN-LALONDE


Scénographie
MAX-OTTO FAUTEUX


Costumes
MARIE-CHANTALE VAILLANCOURT
assistée d’
ANNE-SOPHIE GAUDET


Éclairages
JULIE BASSE


Musique
ANTOINE BÉDARD


Accessoires
JULIE MEASROCH

Intégration sonore
FRÉDÉRIC AUGER


Mouvement
JEAN-BENOIT LABRECQUE


Maquillage et coiffure
JUSTINE DENONCOURT-BÉLANGER
assistée de 

VICO HOUZEAU DE LEHAIE


Chargée de projet à l’étape de recherche
ALICE RENUCCI


Stagiaires
ALEXIS AYOTTE
HUGOLIN JODOIN-MICHAUD
ALEXY COELHO


Accompagnement Écoscéno
JULIE FOURNIER


Direction de production

HAROLD BERGERON


Direction technique
CLAUDIO BUONO


La production remercie
SÉBASTIEN PEDRAGLIO de Royal Photo


DÉCOR

Réalisation
PRODUCTIONS YVES NICOL INC.


Direction des opérations
PATRICK PERRIN


Chargé de projet
PIERRE DUFOUR


Chef menuiserie
LAURENT RIVARD


Chef soudure
IAN GRAVEL


Département Artistique
LIONEL ARNOULD
MÉLANIE OLIVEIRA DE CASTRO
BRUNO RATHBONE
GANTULGA TEMENDEMBEREL


Menuiserie
RONAN AGUILLAUME
MATHIEU BERNIER
LILIAN GOURBIN
MIREHSAN MOADDAD
RODRIGO SALGADO MENDÈS


Soudure
MATHYS GOBEIL
LOUIS-MARC PLANTE


Dessins
GEORGES PAPACHRISTOU

COSTUMES


Deuxième assistante et patine cuir
HÉLIA VAILLANCOURT HÉBERT 


Coupe et confection des fantômes
MARIE-ANGE SABATIÉ 
LUCIE CAZALES 


Perruques
SARAH TREMBLAY


Cheffe habilleuse
SILVANA FERNANDEZ


MUSIQUE


«La musique de Corps Fantômes est dédiée à Claude Poissant pour m’avoir ouvert grand la porte du théâtre.»
— Antoine Bédard, concepteur de la musique


La chanson THINK ABOUT YOU de Jean Leloup est utilisée dans le spectacle, ainsi que des extraits sonores des documentaires suivants: balado LE VILLAGE, épisode 6 (Radio-Canada Ohdio) et MÉDECINS DE COEUR (ONF).

ÉQUIPE TECHNIQUE


Les services techniques assumés par

Chef machiniste
JEAN-PIERRE DEGUIRE


Chef sonorisateur
MARC-ANDRÉ THÉORÊT


Chef éclairagiste
SYLVAIN RATELLE

Chef accessoiriste
ALBERT JOMPHE


ÉQUIPE LA MESSE BASSE 


Codirection artistique
DANY BOUDREAULT & MAXIME CARBONNEAU


Codirection générale
JÉRÉMIE BOUCHER & MAXIME CARBONNEAU


Directrice administrative
NISRINE KASSOUF


Coordonnatrice générale
SANDY CARON


Coordonnateur aux communications
MARC-ANTOINE SINIBALDI


Commis comptable
PASCALE GRENIER


ÉQUIPE DUCEPPE


Codirection artistique
DAVID LAURIN & JEAN-SIMON TRAVERSY


Direction générale

AMÉLIE DUCEPPE


Direction administrative

SASKIA ROLLAND-BEZEM


Direction de production
HAROLD BERGERON


Direction des communications et du marketing
MARIE-CLAUDE HAMEL

Direction technique
CLAUDIO BUONO
LOUIS CARPENTIER
ACHILLE MARTINEAU


Direction affaires publiques et financement stratégique
MAIA LOINAZ


Gestionnaire des ventes et des services
JULIE VIGNEAULT


Responsable communications et marketing

SOPHIE CAZENAVE


Chargée de projets - communications
MAGALI DORÉ


Coordination de production
SOPHIE MARTIN


Coordination - philanthropie et partenariats
CATHERINE GINGRAS


Adjoint aux ventes
JOËL FULLUM GRENIER


Adjoint·e aux communications et au marketing

GABRIELLE FOREST


Comptabilité
JOSÉE PRAIRIE
MORGANE MORU


Préposée aux ventes
MARIE-JOSÉE RIOUX


Créatrice de contenus pour les réseaux sociau
x
AMANDINE PERCIVAL


Responsable des relations de presse (Rugicomm)
GENEVIÈVE HARVEY


Corps fantômes fait l’objet d’une démarche écoresponsable. Cliquez ici pour en savoir plus.
Partenaire écoconception: Écoscéno


Les personnes malentendantes peuvent apporter leur baladeur et le régler sur la fréquence Place des Arts 107,9 FM. Il est aussi possible d'emprunter un baladeur sur place. Les appareils sont disponibles à la barrière de perception des billets, à l'entrée du Théâtre Jean-Duceppe, et seront prêtés en échange d'une carte d'identité. Simplement en faire la demande au personnel d'accueil. Il est également possible d'emprunter des écouteurs. Ceux-ci seront nettoyés entre chaque utilisation.


Duceppe est membre de Théâtres associés (T.A.I.)

Des livres pour poursuivre l'expérience

La librairie mobile du Centre des auteurs dramatiques (CEAD) vous propose plusieurs lectures en lien avec la pièce. Jusqu'au 9 novembre, arrêtez-vous à leur table près de l'entrée du théâtre pour vous procurer le texte de Corps fantômes ou d'autres livres. Lisez la description des oeuvres proposées sur notre blogue.

Duceppe et La Messe Basse remercient

À voir dans le foyer du Théâtre Jean-Duceppe

Corps fantômes: l’exposition (Volet 2: Design, médias et action communautaire)

Cette exposition met en scène des images d’archives, des extraits d’entrevues et des installations inspirées des collages urbains d’ACT UP, où la gravité de la crise du sida côtoie la camaraderie des bénévoles.

Les minutes de création de Corps fantômes

Une occasion unique de soutenir cette création: pour chaque tranche de 1000$ de don, vous parrainez une minute de la pièce. De plus, chaque donateur·ice assistera en exclusivité à une visite de coulisses le 15 novembre 2025.

Les minutes de création de Corps fantômes

Merci aux partenaires de Duceppe

Hydro-Québec / La Caisse / Fondation Cole / Caisse Desjardins du Complexe DesjardinsLa Presse / Télé-Québec

Merci à nos partenaires gouvernementaux

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