

ZÉRO
En farsi et en arabe, zéro se dit «sefr»: le vide. Après avoir exploré les chiffres de 1 à 9 pour parler d’identité sous toutes ses formes, Mani Soleymanlou revient à l’origine de tout avec ZÉRO. Il plonge dans l’histoire de son père, réfléchit à ce qu’il peut transmettre à son fils, et cherche à comprendre d’où il vient, comme homme et comme artiste. Cherchant ce qui nous rassemble plutôt que ce qui nous divise, il tente de retrouver ce souffle qui l’a poussé à créer son tout premier spectacle, UN. Ce vide d’avant. Ce zéro. Ce point de départ qui nous relie, ce moment avant les étiquettes, les frontières, les conflits.
Avec ce «solo brillant, qui dénonce les excès et les dérives et qui plaide pour un vivre ensemble plus harmonieux» (La Presse), le dramaturge d’origine iranienne réécrit son histoire et déjoue les pièges identitaires. ZÉRO bouscule les idées reçues et s’attaque à la base même du théâtre: pourquoi raconter, et pour qui? Un spectacle qui appelle à l’écoute, à la nuance et à une certaine forme de paix. Et une question nous reste en tête: sommes-nous le produit de ce qu’on nous a transmis ou de ce que nous choisirons de laisser derrière nous?
Le vendredi 22 mai, on fait tomber les prix pour vos ados!

«Pendant une heure trente, Mani Soleymanlou retourne toutes les questions qu’il se pose avec intelligence, humour et, oui, un chouia d’anxiété.»
«Il n’y a que Mani Soleymanlou qui peut vous parler des Kardashian, de Kanye West, d’identité, de son désir d’être végétarien (sauf l’été, à cause du BBQ…) et de la révolution iranienne dans la même phrase.»
«Un solo brillant, qui dénonce les excès et les dérives et qui plaide pour un vivre ensemble plus harmonieux.»


«[Avec ZÉRO, Mani Soleymanlou] revient à lui, seul sur scène et sans détour, afin de traduire le vertige d’une quête identitaire aux résonances intimes et citoyennes.»
«Dans ce solo qui tient du stand-up, dans le meilleur sens du terme, c’est-à-dire qu’il entrelace observations justes, humour féroce et livraison frénétique, l’artiste interroge ses origines iraniennes aussi honnêtement que sa québécitude.»
«Pendant 90 minutes, on est pendus aux lèvres de Soleymanlou, prêts à le suivre dans le
labyrinthe de son esprit, dans les dédales d’une quête dans laquelle il est inévitable de se
reconnaître. [...] L’artiste s’adresse à
sa société avec une authenticité désarmante, d’une manière aussi efficace qu’importante.»

Entrevue avec Mani Soleymanlou, Le Droit


«La réflexion [de Mani Soleymanlou], intelligente et lucide, s’inscrit parfaitement dans notre époque. [...] Il dénonce cette propension à miser sur ce qui divise, plutôt que sur ce qui rassemble.»
«Malgré la gravité de son sujet, ZÉRO est totalement dépourvue de lourdeur. L’humour décomplexé de Mani Soleymanlou atteint sa cible presque à tous coups.»
«Mani Soleymanlou: un interprète énergique et un formidable conteur.»
«L’artiste montréalais livre au public la suite de ses recherches sur la question des origines avec humilité, ce qui permet à tous de se reconnaître dans ses observations et ses doutes.»
«Mani Soleymanlou possède un talent indéniable pour raconter des histoires et ZÉRO en est la preuve irréfutable.»
«Tout au long du spectacle, on retrouve un jeu entre la réalité et la fiction, entre le prévu et l’imprévu, ainsi qu’entre le tragique et le comique. L’habileté avec laquelle l’auteur-acteur-metteur en scène jongle avec différents registres force l’admiration.»
«Mais c’est surtout l’authenticité de Mani Soleymalou qui séduit le public, puisque ZÉRO est le spectacle du cycle des chiffres qui puise le plus profondément dans l’intime et dans l’autofiction. Derrière les chorégraphies, les acrobaties, l’autodérision et les blagues se cachent une véritable quête identitaire et des craintes réelles quant à l’avenir des prochaines générations.»
«Une œuvre ludique et divertissante qui invite à la réflexion.»
«Du mime, des contes pour enfants, de la danse moderne et même un lipsync du succès de Julie Masse C’est zéro, viennent ponctuer son monologue. Le conte mettant en vedette le petit Martineau et le petit Cassivi est tout simplement hilarant.»

«C’est avec un naturel désarmant que [Mani Soleymanlou] nous déballe cette logorrhée de haute voltige, une prolongation de cette œuvre fascinante et obsessive, dans laquelle il est ”l’épicentre de son histoire”.»
«Un show excessivement intelligent.»
«Le plaisir qu’il ressent dans sa démarche est définitivement contagieux.»










