Aller à la navigation Aller au contenu
Duceppe

Les jeunes critiques se prononcent sur Oslo

18 octobre 2018

Duceppe offre une tribune à de jeunes écrivains, des ados amoureux de théâtre, pour recueillir leurs impressions sur nos productions. Voici leurs critiques de la pièce Oslo.

Élisabeth Bisaillon, 14 ans :

«La pièce sait mettre en valeur un type d’humour pour venir détendre l’atmosphère et montrer que même dans les moments les plus cruciaux, il y a toujours un moyen de se lier d’amitié avec l’autre. Et c’est souvent cela qui fait toute la différence.»

Lire la suite

Nadège Gendron Granger, 17 ans :

«Il y a quelque chose de particulièrement humain dans la manière dont cette pièce traite du conflit israélo-palestinien. Ça parait complexe de prime abord, mais cela demeure très accessible. C’est une pièce culturelle et historique qui apporte beaucoup sur le plan personnel, car elle nous apprend énormément sur la nature humaine et la société en général. C’est en énonçant des faits réels de manière romancés que l’on fait une bonne histoire, mais c’est quand une pièce nous amène à nous questionner sur nous même que l’on comprend la force du théâtre. Décidément, la saison Duceppe commence en force !»

Lire la suite

Fabienne Pilon, 16 ans :

«Oslo​ est donc une ode au dialogue et à l’espoir, ode rendue mille fois plus puissante par sa véracité. Et la pièce est bien réussie. Malgré le sujet pouvant faire sourciller, le texte est plein d’humour, pas lourd pour un sou. Les diverses péripéties sont emballantes et nous tiennent fascinés, en attente de la suite. Le spectacle atteint un bel équilibre entre la participation active du spectateur (c’est-à-dire qu’il n’est pas question de décrocher si l’on veut suivre l’intrigue!) et le divertissement réellement plaisant. La musique jouée en direct sur scène rajoute une jolie touche.»

Lire la suite

Luka Provost, 16 ans :

«J’ai a-do-ré la mise en scène. Félicitations, madame Patenaude, votre travail m’a conquis. Les éléments de décor n’avaient rien de superflus, ils étaient là et utiles. En faisant basculer les porte-documents, on comprenait les différents évènements tragiques qui se passaient en dehors des discussions autour d’une table. Nous prenions ainsi conscience de toute l’horreur que les peuples israéliens et palestiniens vivaient pendant que nos personnages, entêtés, tentaient d’arriver à un consensus.»

Lire la suite