
Programme — Michelin
Pièce présentée par Duceppe dans le cadre de la série En rappel, du 13 au 17 mai 2025 à la Cinquième Salle de la Place des Arts. Une coproduction Théâtre de la Marée Haute, Théâtre du Tandem, Le Trident et le Grand Théâtre de Québec.

Mot des codirecteurs artistiques
On avait beaucoup entendu parler de ce solo. Et quand on a enfin pu le voir, on a compris: Michelin, c’est un baume. Un récit sensible, drôle et lumineux, porté par un artiste entier.
Avec Michelin, Michel-Maxime Legault nous livre une autofiction, dans laquelle le regard posé sur sa famille est à la fois tendre, lucide et profondément humain. Sa trajectoire — de la ferme à la scène — devient un fil conducteur pour explorer l’identité, les racines et les contradictions d’un parcours atypique. Il y a, dans ce solo porté par la mise en scène délicate de Marie-Thérèse Fortin, une générosité rare. Le Théâtre de la Marée Haute a réussi un grand coup.
Ce spectacle vous est présenté dans le cadre de la série En rappel, qui nous permet d’inviter chez Duceppe des œuvres marquantes pour les présenter à un nouveau public. C’est aussi une façon pour nous de souligner la richesse de notre écosystème: il se crée, au Québec, des spectacles nécessaires et touchants qui méritent de voyager et d’être repris. Grâce à la série En rappel, nous espérons élargir leur portée et faire en sorte que davantage de gens puissent les découvrir.
Merci à Michel-Maxime, à toute l’équipe de Michelin et aux partenaires de production (Théâtre de la Marée Haute, le Théâtre du Tandem, le Trident et le Grand Théâtre de Québec) pour cette œuvre inspirée. Et merci à vous, cher public, pour votre confiance et votre présence aujourd’hui.
Bon spectacle!
David et Jean-Simon
Codirecteurs artistiques

Mot de la metteuse en scène
«On ne choisit pas d’où l’on vient mais on décide où l’on va.»
Michelin, c’est pas mal ça!
C’est l’histoire d’un gars qui grandit sur une ferme et qui se demande ce qu’il fait là.
On a dû se tromper à la livraison.
Un gars qui ne sait pas quoi faire du monde qui l’habite et qui ne sait pas habiter le monde d’où il vient.
Au sein d’une famille pourtant aimante et attentionnée, où tout le monde semble savoir ce qu’il faut faire et ce qu’il y a à faire, Michel / Michelin se sent aussi déstabilisé qu’un veau qui vient de naître, aussi peu à sa place qu’un minou dans une chaudière de lait.
Il va pourtant tout tenter pour se fondre à cette famille qui se dévoue corps et âme pour cette terre qui est au cœur de leur vie. Mais on ne peut rien contre sa vraie nature. Ce que veut Michel / Michelin, ce dont il sent confusément qu’il a besoin, c'est de la culture, pas de l’agriculture.
Bien sûr, les vaches ont un regard attendrissant mais elles ne répondent pas aux questions existentielles. À quoi bon prendre soin de nourrir des poules si on doit finalement les zigouiller. Que peut la majestuosité d’un cheval contre la peur de se faire «kicker». Que peut un champ de trèfles qui valse doucement dans sa robe violacée si on a l’impression qu’il nous avale.
Michelin c’est une ode à la différence, à l’amour qui sauve et parfois déchire, à la réconciliation de toutes les parts de soi qu’on a parfois du mal à faire tenir ensemble.
Je tiens à remercier tout d’abord Michel-Maxime Legault pour sa confiance, son courage, son humour qui dédramatise, son amitié chaleureuse qui m’a permis d’écrire un peu de mon histoire au travers de la sienne.
Merci au Théâtre du Tandem pour leur accueil et la formidable incursion au cœur des territoires agricoles de l’Abitibi-Témiscamingue. Grand merci au Théâtre du Trident et au Grand Théâtre de Québec pour leur soutien et leur expertise lors des ateliers de création. Merci au Théâtre Marée Haute et à Catherine Desjardins-Jolin pour l’orchestration minutieuse de cette production.
Mais surtout, surtout, ma plus profonde reconnaissance aux conceptrices et concepteurs, Alexandre Castonguay, Eliot Laprise, Églantine Mailly, Carl Matthieu Neher, Fabien Piché, Lyne Rioux et Jonas Veroff Bouchard et mon indispensable Sandy Caron pour leur immense talent et leur apport essentiel à la réalisation de ce projet.
Marie-Thérèse Fortin
Bio de Marie-Thérèse Fortin
Marie-Thérèse Fortin a dirigé le Théâtre du Trident de 1997 à 2003 et le Théâtre d’Aujourd’hui de 2004 à 2012. Comme comédienne, elle a tenu des rôles principaux dans une cinquantaine de pièces et s’est illustrée dans Elizabeth, Roi d’Angleterre ainsi que dans Les belles-sœurs au Québec et à Paris. Elle a incarné Gabrielle Roy dans le spectacle solo La détresse et l’enchantement au TNM. Dans les dernières années, elle a fait partie de Les filles du Saint-Laurent, Nassara et Verdict. On lui doit les mises en scène des pièces Des yeux de verre de Michel Marc Bouchard et d’Anciennes odeurs de Michel Tremblay.
Au petit écran, on a récemment pu la voir dans Boomerang, Virage, Cerebrum et présentement dans Les moments parfaits. Elle a remporté le prix Gémeaux du meilleur premier rôle féminin dans Mémoires vives en 2013.
Au cinéma, on retient ses participations aux projets Inch’Allah, Les grandes chaleurs et RU.
Michelin marque sa première mise en scène chez Duceppe.
Source: Théâtre Denise-Pelletier
Dernière mise à jour: hiver 2025

Entretien avec l'auteur et interprète
Michel-Maxime, tu t’es presque appelé Michelin, pour finalement être Michel et ensuite, Michel-Maxime. Avec une histoire comme la tienne, est-ce que tu crois qu’un prénom définit une personnalité?
MICHEL-MAXIME: Oui, vraiment ! Avant, je m’appelais Michel Legault. Et on s’entend, Michel, à huit ans dans les années 1980, c’est le prénom de quelqu’un de 50 ans, et pour moi, c’était un peu comme un mononcle (Rires). En plus, dans mon entourage, il y avait deux autres Michel Legault; mon cousin qui était un peu gros et moustachu et le père de mon amie Vicky. Mon prénom était donc vraiment associé à une image adulte, je me disais, «OK. Ça va être ça ma vie»!
Tu étais né pour être un monsieur!
MICHEL-MAXIME: Exactement! Je me suis toujours vu comme un monsieur, même jeune; j’allais boire du café avec des personnes âgées qui parlaient d’ostéoporose (Rires). Je vidais les fonds de café, c’était tellement dégueulasse, mais je faisais mon adulte parce que dans ma tête, c’était clair que j’allais être un adulte avant le temps. Je m’appelais Michel quand même!
Wow! Donc tu portais ce prénom-là en te disant «j’ai un nom de monsieur, donc je dois être un monsieur, même si j’ai huit ans»?
MICHEL-MAXIME: Oui! Mais à ma sortie du Conservatoire, je suis devenu Michel-Maxime. Je commençais à assumer mon homosexualité, j’étais sur le party, j’ai comme vécu ma crise d’adolescence à ce moment-là, parce que tout d’un coup Michel-Maxime, c’était pas mal plus jeune!
Tu es passé de Michel de la ferme, à Michel-Maxime le comédien.
MICHEL-MAXIME: Exactement.
Et comme tu as passé ta vie à la ferme à rêver de la ville, quand tu l’as quitté tu as vraiment tout laissé derrière?
MICHEL-MAXIME: Oui. Puis en même temps, il y a vraiment eu un mélange de sentiments parce que quand je suis parti, je n’arrêtais pas de pleurer. Je voulais y retourner, retourner aux sources, retrouver mes racines. En plus, c’était à l’ère des nouvelles technologies, d’Internet, des courriels, j’étais comme dépassé. Je me rappelais les tempêtes de neige à maison où on n’a pas d’électricité pendant trois jours et il y avait quelque chose de tellement réconfortant là-dedans.

La vie sur la ferme c’est quand même 20 ans de ton existence, aujourd’hui, qu’est-ce qui te reste de cette vie-là?
MICHEL-MAXIME: Des fois, justement, les jours de grosses tempêtes, je suis content, je me sens en vacances, comme quand j’habitais sur la ferme! On travaille toujours quand on est sur une ferme. Encore aujourd’hui les journées de pluie me rendent vraiment heureux parce que pour moi ça rime avec journée de congé! Et s’il fait beau, alors que tout le monde est content, moi je me dis «Ohlala, ça va être une grosse journée.»! La ville a toujours représenté pour moi un grand sentiment de vertige. Même Québec, je ne trouvais pas ça assez gros! Pour moi, fallait que ce soit New York. Je voulais les plus grosses villes possibles! Les gens s’extasient devant les paysages, les champs, alors que moi, bof (Rires)! Chez moi, c’était des champs à perte de vue tout le temps! C’est quand j’arrive en ville que je fais «Wow!»
Et quand tu retournes voir ta famille, as-tu l’impression d’être devenu un peu étranger à tout ça?
MICHEL-MAXIME: Un peu oui. Surtout par mon accent qui a changé selon eux et elles. Je fais attention quand je parle! Ce n’est pas si marqué, mais c’est vrai qu’il y a un clash parfois. J’ai développé quelque chose de mon côté et des fois, j’utilise des mots qui me semblent simples, mais qui pour ma famille, sont de grands mots. Ceci dit, je me sens aussi en décalage dans mon milieu.
Comme si tu étais le comédien à la campagne et la campagne au théâtre en même temps!
MICHEL-MAXIME: Oui!
Et de quoi rêves-tu pour Michelin?
MICHEL-MAXIME: J’aimerais que ça dure pendant des années, qu’on rencontre toutes sortes de publics, et qu’on gagne en maturité. C’est un projet que je pourrais porter pendant dix ans sans problème. Et puis qu’il soit transformé. Là, il y a le roman, mais il pourrait y avoir une série aussi, un livre audio, comme ça, on rejoint encore plus de gens. Je veux qu’on arrive à toucher toutes sortes de public, pas seulement celui du théâtre, parce que ça ne parle pas juste de monde de théâtre là-dedans! Notre milieu est parfois un peu hermétique, je ne veux pas que Michelin reste cantonné dans une seule catégorie, je veux qu’il prenne autant de formes qu’il y a de gens pour le voir et l’écouter!

Réalisation de l'entrevue: Sophie Vaillancourt-Léonard, Le Trident
Bio de l'auteur et interprète
Michel-Maxime Legault
Michel-Maxime Legault est diplômé du Conservatoire d'art dramatique de Québec. Il est cofondateur du Théâtre de la Marée Haute pour lequel il a signé les mises en scène de Cr#%# d’oiseau cave, Centre d’achats, Ce que nous avons fait, Irène sur Mars, Parfois, la nuit, je ris tout seul, Kvetch, Rhapsodie-Béton, Top dogs et Kick. Il a aussi mis en scène Le roi danse, Verdict, Entre Ciel et Mer (Cirque Eloize), Il Trovatore (Opéra de Montréal), Les bâtisseurs d’Empire ou le Schmürz, Savoir Compter, Comment je suis devenue touriste, Les conjoints, Zaza d’abord ainsi que plusieurs théâtres d’été.
Depuis 2005, il a joué dans plusieurs pièces dont Et puis, par la fenêtre, nous pourrons voir les champs, Vermine Radieuse, Dans ma maison de papier, j'ai des poèmes sur le feu, Les savants, Vie et mort du roi boiteux, Cock, Les jumeaux vénitiens, De l'amour et des restes humains, Le père Noël est une ordure, Piaf et dernièrement, à la télévision, dans Les beaux Malaises 2.0. On l'a également vu dans Indéfendable, Lâcher prise, Pure laine, Les pieds dans la marge et Toute la vérité.
Michel-Maxime a été formé en piano piano classique à l'École de Musique Vincent-D’Indy. Il a enseigné le jeu scénique d'opéra et travaille fréquemment avec l’Orchestre Symphonique de Montréal comme metteur en scène. Il est également professeur d'interprétation invité dans les différentes écoles de théâtre au Québec.
Récemment, Michel-Maxime a sillonné les routes du Québec après avoir présenté Michelin à la Salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier. La pièce est présentée dans notre série En rappel en mai 2025. Son roman du même nom est publié aux Éditions du Quartz.
Michelin marque sa première apparition chez Duceppe. Michel-Maxime sera de retour sur nos planches lors de la saison 2025-2026 dans le spectacle Rue Duplessis | Ma petite noirceur.
Source: Agence RBL
Dernière mise à jour: printemps 2025
En savoir plus sur les copruducteurs
Théâtre La Marée Haute

En 2006, Michel-Maxime Legault et Marie-Claude Giroux fondent le Théâtre de la Marée Haute et produisent leur tout premier spectacle (KVETCH) qui reçoit un excellent accueil. Ils créent un second spectacle, RHAPSODIE-BÉTON. Ce spectacle élève la compagnie au rang des jeunes compagnies à surveiller (Voir, 2007). En 2008, le spectacle TOP DOGS fait salle comble en plus de recevoir plusieurs nominations aux Gala des Cochons d’Or. En 2010, l’équipe s’investit dans sa toute première création québécoise : KICK. Ce texte inédit d’Étienne Lepage est présenté́ sur la scène du Théâtre Aux Écuries. À ce moment, la compagnie précise sa démarche et priorise la création. En 2012, le projet RÉFLEXIONS (série de 4 spectacles) amène l’équipe à explorer différentes formes scéniques en créant des performances théâtrales dans des lieux non traditionnels.
En 2015, Michel-Maxime Legault, directeur artistique et metteur en scène, débute une résidence de deux ans au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui (2015-2017). CE QUE NOUS AVONS FAIT, le premier projet de cette résidence, lui permettra d’approfondir sa démarche et de créer en duo avec l’auteur Pascal Brullemans. CE QUE NOUS AVONS FAIT remporte le prix Michel-Tremblay. Le deuxième projet de la résidence, IRÈNE SUR MARS sera coproduit avec les Productions À tour de rôle. Un projet plus populaire qui attire un public varié et de toutes les générations tant à Carleton-sur-Mer qu’au CTD’A. IRÈNE SUR MARS a parcouru le Québec avec une quarantaine de représentations en tournée. Parallèlement à la résidence au CTD’A, une adaptation des textes du romancier Jean-Paul Dubois. PARFOIS, LA NUIT, JE RIS TOUT SEUL, présentée en laboratoire à Montréal et à Québec en 2013, voit le jour au Théâtre Premier Acte et au Théâtre de Quat’Sous en 2016 et en 2017. Ce déambulatoire orchestré par Marcel Pomerlo et Michel-Maxime Legault intégrant un public curieux sur tous les étages du théâtre s’attire des critiques dithyrambiques.
Enfin, en 2018-2019 la compagnie célèbre le 10e anniversaire de sa fondation avec la création de CENTRE D'ACHATS d’Emmanuelle Jimenez, en coproduction avec le CTD’A, dans la salle principale. La Marée Haute ne prend pas de pause et s’attaque à un grand classique tchekhovien réactualisé́ par Aaron Posner et traduit par Benjamin Pradet: CR#%# D'OISEAU CAVE. Ce spectacle clôt la première décennie de la compagnie. Suite à la pandémie qui a secoué́ les plans établis, la Marée Haute est revenue en force avec sa nouvelle création: VERMINE RADIEUSE qui critique par son humour noir, la gentrification. Du même coup, la compagnie a accueilli Catherine Desjardins-Jolin au poste de codirection générale.
Le Théâtre de la Marée Haute s’associe avec le Théâtre du Tandem, le Théâtre du Trident et le Grand Théâtre de Québec pour faire vivre ce premier texte de Michel-Maxime Legault mis en scène par Marie-Thérèse Fortin.
Théâtre du Tandem

Le Théâtre du Tandem se donne pour mission de faire du théâtre de création en Abitibi-Témiscamingue. Audacieux et engagé, il place au cœur de son processus créatif des espaces de dialogue entre les artistes et la communauté. Il soutient qu’il est possible d’inventer une nouvelle grammaire dramaturgique. Qu’il est imaginable de refondre sa place dans la collectivité en changeant de cadre de création, en allant à la rencontre des noyaux villageois tout en ayant un pied en ville. Le Théâtre du Tandem mise sur une relation transformée avec les citoyen·nes, le territoire et le rituel théâtral pour se raconter et s’unir de manière inédite.
Le Trident

Ancré à Québec, le Théâtre du Trident produit et diffuse, en français, un théâtre d’envergure et novateur en mettant en relation des œuvres phares avec l’instant présent. Nous contribuons activement à réaliser les visions d’artistes d’exception par des défis engageants, des ressources significatives et un accompagnement soutenu. Nos actions distinctives dynamisent la vie culturelle de la Capitale-Nationale en plus d’offrir au public des expériences marquantes.
Grand Théâtre de Québec

Monument important de la ville de Québec depuis son inauguration en 1971, le Grand Théâtre de Québec est reconnu comme étant le haut lieu de la diffusion de l’ensemble des arts de la scène pour la Capitale ainsi que pour tout l’est du Québec. Annuellement, plus de 500 événements y sont proposés, rejoignant ainsi plus de 300 000 spectateur·ices.
REMERCIEMENTS
L'équipe du spectacle tient à remercier les MRC de Rouyn-Noranda, Témiscamingue, Abitibi-Ouest, Abitibi et de la Vallée de l'Or, la Famille Roy, la Famille Bégin, la Famille Bisson, Alexandre Binette et la municipalité de Moffet, Mario Tremblay, Le Théâtre du Rift, Le Théâtre Denise-Pelletier, Transport Maheux, Moreau Électrique, la Caisse Desjardins du Témiscamingue, le Député Rouyn-Noranda et Témiscamingue monsieur Daniel Bernard, l’École supérieure de théâtre de l'UQAM, le Conservatoire de Musique de Val-d'Or, Les Éditions du Quartz, David Boutin, Madeleine Péloquin, Michel Pouliot, Jean-François Bossé et tous les bénévoles lors des représentations en salle communautaire.
La tournée de Michelin est assurée par l’équipe d’Encore Spectacle.
MICHELIN
Durée approximative: 1h15 sans entracte
Texte et interprétation
MICHEL-MAXIME LEGAULT
Mise en scène
MARIE-THÉRÈSE FORTIN
Une coproduction
LE THÉÂTRE LA MARÉE HAUTE
LE THÉÂTRE DU TANDEM
LE TRIDENT
LE GRAND THÉÂTRE DE QUÉBEC
Une présentation
DUCEPPE
CONCEPTIONS ET COLLABORATIONS
Assistance à la mise en scène
SANDY CARON
Conseil dramaturgique
ALEXANDRE CASTONGUAY
Scénographie
JONAS VEROFF BOUCHARD
Costumes et accessoires
ÉGLANTINE MAILLY
Éclairages et coordination technique
LYNE RIOUX
Conception sonore
CARL MATTHIEU NEHER
Vidéo
ELIOT LAPRISE
Mouvement
FABIEN PICHÉ
Direction de création
CATHERINE DESJARDINS-JOLIN
Direction technique (Duceppe)
CLAUDIO BUONO
Direction de production (Duceppe)
HAROLD BERGERON
ÉQUIPE DE RÉALISATION
Décor
JONAS VEROFF BOUCHARD, PRODUCTIONS YVES NICOL & LESNA
Costumes et Accessoires
ÉGLANTINE MAILLY & PAR APPARAT
Vidéo
ELIOT LAPRISE
Consultants vidéo
EMILE BEAUCHESNE, KEVEN DUBOIS & PATRICK DOSS
Musique
CARL MATTHIEU NEHER & VINCENT CRÉPEAU
Sonorisation
NORMAND GUENETTE
Lumière
LYNE RIOUX, TEKLED & LAURA DOMINGUEZ
Expertise technique
JANIE LAVOIE, JULIE TOUCHETTE, NORMAND GUENETTE, VALENTIN FOCH & NICOLAS JALBERT
Visuel
© PHOTO RAPHAËL NIKIEMA / DESIGN DEMANDE SPÉCIALE
LES COPRODUCTEURS
La Marée Haute
MICHEL-MAXIME LEGAULT & CATHERINE DESJARDINS-JOLIN
Le Tandem
ALEXANDRE CASTONGUAY & MARIE-ÈVE BRISSON
Le Trident et Le Grand Théâtre de Québec
OLIVIER ARTEAU, MARC-ANTOINE MALO & CHRISTIAN NOËL
Cheffe habilleuse (Place des Arts)
MARTINE SEGUIN
ÉQUIPE TECHNIQUE
Les services techniques assumés par

ÉQUIPE DUCEPPE
Codirection artistique
DAVID LAURIN & JEAN-SIMON TRAVERSY
Direction générale
AMÉLIE DUCEPPE
Direction administrative
SAM LABRECQUE
Direction de production
HAROLD BERGERON
Direction des communications et du marketing
MARIE-CLAUDE HAMEL
Direction technique
CLAUDIO BUONO
LOUIS CARPENTIER
ACHILLE MARTINEAU
Direction affaires publiques et financement stratégique
ANTONINE SALINA
Gestionnaire des ventes et des services
JULIE VIGNEAULT
Chargée de projets - communications
MAGALI DORÉ
Coordination marketing
SOPHIE CAZENAVE
Coordination de production
SOPHIE MARTIN
Coordination - philanthropie et partenariats
CATHERINE GINGRAS
Adjoint aux ventes
JOËL FULLUM GRENIER
Adjointe à la direction des communications et du marketing
DAPHNÉ BACHANT
Comptabilité
JOSÉE PRAIRIE
MORGANE MORU
Préposée aux ventes
MARIE-JOSÉE RIOUX
Préposé·es aux abonnements
ANTOINE HATEM
BÉATRICE LORTIE
JOHANNA SIMON
YASMINA LÉVEILLÉ
Les personnes malentendantes peuvent apporter leur baladeur et le régler sur la fréquence Place des Arts 88,1 FM. Il est aussi possible d'emprunter un baladeur sur place. Les appareils sont disponibles à la barrière de perception des billets, à l'entrée de la Cinquième Salle, et seront prêtés en échange d'une carte d'identité. Simplement en faire la demande au personnel d'accueil. Il est également possible d'emprunter des écouteurs. Ceux-ci seront nettoyés entre chaque utilisation.
Duceppe est membre de Théâtres associés (T.A.I.)
Merci aux partenaires de Duceppe
RONA / Hydro-Québec / Caisse de dépôt et placement du Québec / Les Producteurs de lait du Québec / La Presse / Energir
Remerciement spécial | Fondation Cole
Merci à nos partenaires gouvernementaux
