Entrevue avec Alexandre Fecteau [Le Devoir]

À la fois intime et sociale, romantique et politique, cette oeuvre chorale est «forte parce qu’elle fonctionne à plusieurs niveaux. À un niveau émotif, on s’attache à ces personnages, qu’on va pleurer. Et elle nomme les lâchetés, les responsabilités et comment une certaine façon de vivre la religion et une certaine bigoterie sont venues compliquer les choses».

Mais c’est aussi une célébration «de l’amitié, de la communauté, de la solidarité, dans le plaisir, mais surtout dans l’adversité». — Le metteur en scène Alexandre Fecteau sur la pièce N’essuie jamais de larmes dans gants qui prend l’affiche le 6 décembre. 

Lire l'entrevue de Marie Labrecque avec Alexandre Fecteau sur ledevoir.com*

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