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Duceppe
Autrice et comédienne, Rose et la machine

Maude Laurendeau

Maude Laurendeau par Andréanne Gauthier
© Andréanne Gauthier

biographie

Diplômée de l’École supérieure de théâtre de l’UQAM en 2004, la comédienne Maude Laurendeau se lance en 2020 dans une première expérience d’écriture dramaturgique avec Rose et la machine, un récit documentaire que Duceppe présente avec joie cette saison et où l’autrice raconte son parcours semé d’embûches après le diagnostic d’autisme de sa fille.

Avec ce récit autobiographique, Maude Laurendeau renoue avec la renommée compagnie de théâtre documentaire Porte Parole et sa directrice artistique Annabel Soutar qui lui confiait en 2008 l’un des rôles principaux dans Sexy béton. Un rôle qu’elle a tenu jusqu’en 2011 sur les planches de nombreuses salles des quatre coins de la province, Sexy béton — épique trilogie sur l’effondrement du viaduc de la Concorde à Laval — faisant l’objet de la première tournée de Porte Parole au Québec.

Au théâtre, on a aussi applaudi Maude Laurendeau notamment dans Théâtre extrême de Jean-Guy Legault (2008-2010 ainsi que dans L’oratorio de Noël de Michel Tremblay mise en scène par Serge Denoncourt et présentée chez Duceppe en 2012.

Bien connue du petit écran, en particulier pour son interprétation de Victoria Maillard dans la populaire série Yamaska(2009-2015) et celle d’Anaïs Manning dans la grande fresque historique Nos étés II à IV (2006-2008), elle fut de la distribution de nombreuses autres téléséries parmi lesquelles Grande Ourse II (2005), Minuit le soir (2007), Pure Laine (2007) et, plus récemment, District 31 et Vertige.

Au cinéma, elle brille dans trois films sous la direction de Luc Picard. Elle était ainsi de la distribution des Rois mongols (2016), incarnait la belle Lurette Riopel dans Babine (2008) et retrouvait ce merveilleux personnage dans Ésimésac (2012), ces deux derniers longs-métrages étant inspirés de l’univers fantastique du conteur Fred Pellerin.